59 JAi Trompé Mon Mari Pendant QuIl Faisait La Garde Sur Le Toit (1) :
59 Jai trompé mon mari pendant quil faisait la garde sur le toit (1) :
Notre douar, situé à une vingtaine de kilomètres en dehors de la ville, est composé de trente familles logées dans de petites maisons accrochées les unes aux autres. Et tout autour, nous avons chacun des lopins de terres que nos maris cultivaient chaque jour de laube au coucher du soleil, pendant que les femmes restent à la maison, mais nous avions une certaine liberté qui nous permettait de connaitre nos voisines et voisins. Moi je suis dun autre douar et je viens de me marier ici il y a un an et jai un bébé de trois mois maintenant. Je suis âgée juste de vingt ans et je ne connaissais pas mon mari car ce sont mes parents qui lont choisi. Cest un vieil homme, veuf et âgé de cinquante ans environ et vivant seul car ses grands s sont tous partis travailler en ville. Nous vivions assez bien mais au moment où jaccouchais, il y a trois mois, il y a eu des problèmes dans la région. Des bandits et des terroristes commençaient à faire des barrages sur les routes désertes et attaquent les douars, la nuit. Alors, on a décidé que tous les hommes du douar, armés chacun dun fusil, fassent la garde chaque nuit, dans les rues et surtout sur les toits des maisons. Et ainsi, depuis cinq jours, mon mari muni de son fusil et dune thermos, passe sa nuit sur le deuxième toit de notre maison. En effet, notre maison possède un rez de chaussée avec deux chambres, grande cuisine, large salle de bain complète, une cour plantée de deux arbres (raisin et citrons) et un long couloir donnant sur la porte de la rue. Le premier étage, par les escaliers, ne comporte quun large grenier et une chambre vide et un autre escalier donne accès au second toit où mon mari fait la garde.
Ce soir, comme dhabitude, mon mari était sur le toit depuis deux heures et moi jai terminé ma vaisselle. Puis jai allaité mon bébé et il sest endormi, puis je me suis mise à laise. Jaimais me coucher dans notre grand lit, toute nue sous ma robe de chambre, courte et fine.
Jai protesté que cétait interdit et quil y avait mon mari, mais il a murmuré que mon vieil époux était sur le toit et que jétais seule toute la nuit comme lui. Il a murmuré encore plus bas que son zob était affolé par mon corps chaud et gonflé (mtanane) à fond. Le mot ma choqué et jai essayé de me détacher, en vain. Et pour me le prouver, il a farfouilla entre nos corps et sortit son « zob » de son pantalon et me le montra. Malgré la semi obscurité et quon était assez serrés, je lai vu, ce zob. Il était gros et long, énorme et bandé et il le secouait avec envie. Javoue quil ma immédiatement excité et, sans ma volonté, ma chatte explosa et ma mouille commençait à couler sur mes cuisses. Le jeune homme a du sentir mon émoi car il se recolla de nouveau et encore mieux contre mon bas ventre. Maintenant je ressentais nettement son zob dans toute sa longueur, ce qui augmenta mon excitation. Jai tout de suite pensé au sexe de mon mari et fait la comparaison avec ce que jai vu et senti. Et, hélas, le zob du jeune voisin semblait être le double de mon époux en longueur et en grosseur. Cette constatation me poussa, bas ventre en avant à me coller moi aussi au zob du jeune homme, automatiquement sans ma volonté. Jai pensé, un instant, que je devrais protester et crier, mais javais laissé le jeune pénétrer ma maison, et de plus, mon corps et ma chatte me disaient et faisaient le contraire. Je commençais à désirer ardemment ce gros zob qui me provoquait. Ma robe dintérieur était trop fine et trop courte et laissait passer facilement et directement la chaleur et le désir de ce zob dans mon ventre, alors jai abandonné tout semblant de résistance. Mes mains, delles même, sont allées de chaque coté de mon corps pour soulever mon vêtement, me dénudant complètement jusquà la poitrine. Immédiatement jai ressenti le contact formidable du zob contre la chair de mon pubis et je nai pas pu retenir un long soupir de désir.
Ma chatte emballée par le gros zob coulait son plaisir en abondance. Jai eu deux orgasmes avant même quil ne me pénètre et maintenant quil me niquait à fond, ma chatte coulait en permanence avec jouissances et jétais pratiquement étourdie. Je crois que pendant ce long moment de plaisir, je ne comptais plus mes orgasmes continus. Rejetant ma tête un peu en arrière pour mieux respirer, mon cur battait follement et jallais perdre connaissance. Mais le jeune fauve continuait plus bas, à limer ma chatte par les vas et viens vigoureux de son zob, avec une respiration accélérée et rauque. Moi, je ne pensais quà une seule chose, à ce zob dont limage ne me quittait plus, et qui me limait la chatte et amplifiait mon plaisir continu et ma jouissance. Je crois, que durant ces quinze ou vingt minutes de baise, jai eu au moins cinq orgasmes, du moins, ceux qui mont fait mordre chaque fois la main qui me fermait la bouche. Mon corps vibrait malgré que jétais coincée contre le mur et que je maccrochais au jeune homme. Soudain, il me plaqua plus fortement contre le mur et dun premier coup de rein violent puis dun second et dun troisième, il explosa dans ma chatte. Trois forts jets de sperme dans mes entrailles mont encore fait hurler dans la main qui retenait ma bouche. Mes jouissances ruisselaient dans ma chatte et faisaient vibrer tout mon corps. Cette baise était mon vrai dépucelage et initiation aux plaisirs sexuels. Ma chatte était enflammée et le gros zob entièrement gonflé et puissant à sa disposition. Le jeune homme, aussi a été enchanté car il me murmura au milieu de ses souffles affolés que son zob a trouvé une vraie chatte (soua) chaude et entièrement ouverte qui le suçait naturellement chaque quil sy enfonçait. Il navait jamais obtenu un tel résultat avec sa femme pourtant jeune et bien dotée, et il ma soufflé dans loreille « ya zébi ! soutek makhdouma li neyk ! bayane rajlak ma yakfihach ! aya n3aoudou nayka wa7dakhra ! » ( ô mon zob ! ta chatte est fabriquée pour la baise ! on voit que ton mari ne lui suffit pas ! viens on va niquer encore !).
Moi je pensais à autre chose. Quoique ce fût totalement inédit pour moi et surtout pour ma chatte, jai quant même pensé au risque dêtre engrossée par cette inondation de sperme. Mais, heureusement je me suis rappelé que depuis la naissance du bébé, je prenais la pilule de contraception. Mais javais quant même peur car, dans mes souvenirs, ma chatte na jamais reçu autant de sperme de mon mari qui éjaculait une ou deux fois et juste ce quil faut et en quantité toujours très moyenne sinon faible. Mais avec ce jeune homme au gros zob comme un âne et aux grosses couilles bien remplies, cétait une inondation dans ma chatte, à savoir si la pilule pourrait contrer cela, et ça mexcitait à fond de penser à cela. Oui, jétais si heureuse que jétais prête à accepter toutes les conséquences dun tel plaisir, dune telle jouissance, dune véritable niagara déjaculations de ce taureau humain. Et jétais prête à recommencer tout de suite comme il le désirait lui aussi. Enfin, le jeune se détacha de moi et je pus ainsi enlever totalement ma robe et la jeter par terre. Ainsi complètement nue, je montrais mon beau corps bien rempli, mes gros seins gonflés, mes larges hanches et mes blanches cuisses, mon ventre, mon pubis rasé et ma chatte qui laissait couler le sperme de mon amant, tout était offert avec plaisir à ce jeune voisin qui mavait ouverte et initiée aux vraies jouissances sexuelles et qui mavaient presque fait perdre connaissance. Lui aussi était content et satisfait. Il tenait son zob à la main comme pour me loffrir, il était toujours bandé et gonflé à fond et luisait de son sperme blanchâtre, ce qui lui donnait encore plus dattirance. Il me loffrait et me demandait de le toucher. Alors, avec avidité et peur de ce monstre, jai approché une de mes mains et je lai empoigné. Il était plus gros que je croyais et dur comme du fer et ma main narrivait pas à lentourer, alors jy ai mis les deux mains. Cétait une sensation formidable et ma chatte, pourtant encore remplie de sperme recommençait à me chatouiller. Pourtant, à son contact, il était aussi doux que dur, ce qui ma etonnée et jai commencé à le caresser, à le branler doucement et il vibrait et semblait sallonger et durcir encore plus. Il désirait me niquer encore et moi aussi jen avais envie, une envie folle et immédiate. Mais je narrivais pas à détacher mes mains de son contact et je continuais à le branler et cela amplifiait les frissons de mon corps et les démangeaisons de ma chatte. Nen pouvant plus, ma chatte explosa encore une fois dun orgasme qui inonda mes cuisses en rejetant les restes de sperme et jai lancé un long gémissement rauque qui a été heureusement étouffé par une main du jeune amant. Mais il a été touché et excité par mon affolement, alors, il reprit son zob à la main et lenfonça de nouveau dans ma chatte. Et malgré le sperme qui la remplissait, je ressentais la vigueur du pieu qui entrait et sortait avec alternance.
Je croyais que le sperme allait nous empêcher de jouir, mais cétait faux. Son zob recommençait ses vigoureux vas et viens par de puissants coups de reins accompagnés de « hans » de désir du jeune et de gémissements de ma part. Rapidement, on était au top de la jouissance comme si cétait notre première niquée. Ma chatte brulait de jouissances et le zob qui la remplissait totalement limait ses parois internes avec frénésie. Ces contacts ne me démangeaient plus mais me donnaient des vibrations agréables qui me poussaient à tortiller de tout mon bassin pour gouter à fond le plaisir sexuel. Pendant toute la vingtaine ou trentaine de coups de reins et des glissements affolants du zob dans mes entrailles, le monde nexistait plus pour moi que ce pieu de chair merveilleux. Il a réussi à moffrir trois orgasmes qui ont fait vibrer tout mon corps. Nos gémissements rauques et nos souffles accélérés étaient à lunisson et nous ne formions quun seul corps de plaisirs et de jouissances. Enfin, comme récompense de notre union, nous sommes arrivés ensemble en même temps aux dernières jouissances. Juste au moment où je lâchais mon quatrième orgasme, mon jeune amant arriva à son top et se déchargea les couilles par trois jets puissants et brulants. A chaque jet, il laccentuait par un coup de rein qui collait mes fesses au mur. Ce fut une apothéose dans ma chatte et mon corps. Comme tout à lheure, jai pensé que cette niquée était mon vrai dépucelage et ma nuit de noces et jy étais entièrement acquise, sans un grain de regret ou de honte. Jai pensé quau contraire, mon mariage avec le vieux et mes nuits entre ses bras étaient un échec et presque une punition pour ma belle chatte affamée et pour mon corps rempli pour le plaisir sexuel. Mais maintenant que jai ce gros zob et un amant engagé, je ne le lâcherais plus et chaque nuit je viendrais niquer avec lui avec plaisir. Quant il a terminé son éjaculation, nous sommes restés un long moment, collés ensemble, et son zob toujours dans mes entrailles. Je sentais bien quun peu de sperme suintait de ma chatte le long de mes cuisses et cela métait agréable, contrairement au sperme de mon mari qui me gênait beaucoup quant il restait collé à mes cuisses.
Il ma embrassé je ne sais plus combien de fois et peloté mes seins dénudés. Cétaient des détails pour moi car jétais totalement fixé sur limage de son zob dans ma tête et les sensations de ses vas et viens dans ma chatte. Je fantasmais facilement et agréablement, dans ma tête, cet énorme zob qui emplissait ma chatte jusquau fond et me fouillait la chair en me donnant du plaisir et beaucoup de jouissances. Enfin, il sortit son zob et me dit quon avait beaucoup tardé et quil y a un risque quil soit cherché par ses collègues. Rapidement il prit son beau zob qui débandait et le remit dans sa pantalon et sortit en me disant « layla oukhra enikou thani ! zébi tah leyk ! endir 7sabi bach entaoulou ! » ( demain soir on baisera aussi ! mon zob est à toi ! je ferais en sorte pour rester plus longtemps) et il sortit dans la rue, me laissant debout, toute nue dans le couloir, la chatte pissant le sperme et la mouille qui la remplissaient. Jai recueilli un peu de sperme pour bien lobserver, cétait difficile dans la semi obscurité du couloir. Puis, toujours nue, et avec précautions, jai accouru vers notre salle de bain, heureusement pas très loin et juste à côté de ma chambre. En me vidant du sperme, jen ai recueilli encore recueilli un peu un peu pour lexaminer dans la lumière du local et, comme je le soupçonnais, il était plus blanc et plus épais et visqueux que celui de mon mari, en tout cas beaucoup plus abandon dans chaque éjaculation. Aves ce type de sperme et son abondance, jétais convaincue quon accouche facilement de jumeaux ou plus. Dans les premiers contacts avec mon mari, et sur conseils de ma mère, javais recueilli un peu du sperme de mon époux pour voir sa couleur, sa consistance et sa viscosité. Et ma mère avait eu des doutes sur ses possibilités du vieil homme de mengrosser. Mais heureusement ça a marché, malgré quon ne baisait quune fois par semaine et parfois après dix à quinze jours et que son sperme nétait pas très abondant. Mais le résultat a été suffisant pour me donner un bébé. Par contre, ce que jai constaté avec le sperme du jeune homme, cétait autre chose. Il était nettement plus blanc et plus dense et sa viscosité était presque de la colle. Je lai constaté sur mes cuisses en les nettoyants difficilement. Jai pensé quavec ce jeune, si jarrêtais de prendre la pilule, un seul coup de son zob et un seul jet de son sperme suffiront pour me donner des jumeaux ou plus. Enfin, cest maintenant du passé et jai sous la main un autre type de gros zob puissant et épais pour bien remplir ma chatte et des couilles à la hauteur. Je savais que jétais chaude car je nétais jamais satisfaite des nuits de mon mari et que ce nest que ce soir que jai vraiment rencontré le zob et la puissance qui peuvent faire plaisir à mes fantasmes et rassasier ma chatte. Demain soir, je serais dans le couloir, nue et prête aux saillies du jeune voisin.
Je me suis nettoyée et même douchée, puis jai remis ma robe, ensuite je suis allé vérifier que tout était calme du côté de mon mari sur le toit, puis le suis retourné me coucher à coté de mon bébé. Le sommeil a tardé un long moment car mon corps continuait à jouir des plaisirs quil a eus et ma tête voyait toujours ce gros zob bien bandé bien gonflé et surtout luisant de sperme, juste avant notre deuxième baise. Jai toutefois eu conscience que je venais de tromper mon mari et avec facilité, sans presque aucune résistance. Je me suis donné des excuses en faisant les comparaisons des deux zobs, des coups de baise et des éjaculations. Je suis jeune et on ma marié à un vieux alors que mon corps était assoiffé de plaisir. Je viens de constater quil était chaud et exigeait pus que ne pouvait me donner mon mari. Enfin le sommeil vint me calmer et apaiser un peu mon corps. Le lendemain, la journée passa normalement et le travail domestique me ramena un peu à la raison. Jai commencé à regretter ce que javais fait la nuit dernière et jai décidé de ne plus y retourner. Et enfin, le soir, quant mon mari monta sur le toit, jai terminé la vaisselle et jai regagné mon lit, décidée à me coucher normalement. Hélas, je nai pas résisté plus dun quart dheure. Mon corps réclamait les caresses et ma chatte me démangeait comme jamais elle ne lavait fait. Alors, je me suis nue sous ma robe de chambre et jai rejoins le couloir de la maison. Dès que jai entrouvert la porte, le jeune, qui attendait dehors, me poussa à lintérieur et referma derrière lui. Puis, sans un mot, il menlaça et me plaqua contre son corps. Il me caressait et malaxait les fesses et ses doigts dans le sillon de mon anus et par devant, jai tout de suite senti la vigueur de son zob bandé contre mon ventre. Il a sorti son gros zob gonflé et jai, automatiquement soulevé ma robe jusquà la gorge, offrant tout mon corps et même mes seins. Sans un mot, il empoigna son zob et le pointa sur ma chatte qui coulait déjà depuis que jai rejoins le couloir. Son zob, aidé par mon jus, senfonça dans ma chatte, jusquaux couilles dans deux râles de plaisir commun. Je poussais mon corps vers le gros zob qui commença ses vas et viens affolant ma chatte et ma tête. Il me suçait les seins et leurs boutons et ses mains me fouillaient les fesses et cherchaient mon anus. Nous avons baisé pendant, peut-être plus longuement quhier soir et avant quil éjacule, jai obtenu quatre orgasmes. Et ce soir jai réussi à retenir mes cris et à la place ce furent des halètements rauques et rapides. Mon cur battaient la chamade et quant il a, enfin, éjaculé trois jets puissants, jai perdu connaissance. Il a fallu quil me donne quelques petites claques sur le visage pour reprendre mes esprits. Heureusement quil me retenait vigoureusement, mais son zob était toujours dans ma chatte. Il ma embrassé plusieurs fois, puis il a retiré son zob en me demandant de me retourner et de me courber ce que jai fait aussitôt. Il ma écarté les cuisses et ma touché la chatte et enfoncé un doigt. Cétait une position et une touche excitantes. Penchée sur le mur et avec le derrière et le cul exposé et offert à mon voisin était inédit pour moi. Ensuite jai senti son zob qui fouillait ma chatte puis il sy enfonça jusquaux couilles, son ventre claqua contre mes fesses. Il voulait me niquer dans ma chatte mais par derrière.
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